Quoi de mieux qu’un FPS ultra nerveux pour commencer la semaine en beauté. Un bon vieux Doom Like savoureux que vous pouvez découvrir via notre test vidéo. Vous retrouverez la transcription complète de la vidéo juste en dessous. Bon visionnage et évitez de cligner des yeux pour ne pas perdre une miette de ce Turbo Overkill.

un FPS jouissif inspiré des classics du genre et de films: Turbo Overkill


Turbo Overkill est un fast FPS rétro sanglant dans un monde cyberpunk dont les visuels et l’histoire s’inspirent de Blade Runner et Robocop. On y incarne Johnny Turbo, 50% métal, 50% humain, 100% machine à tuer, qui, en rentrant dans sa ville natale, la découvre à feu et à sang. Il est engagé pour la purger de l’IA qui en a pris le contrôle et de son armée de sbires

On déambule donc dans les niveaux correspondant aux quartiers de Paradise City, se frayant un chemin à la force de notre arsenal, comprenant les habituels pistolets, pompes, Uzi, lance-roquettes, etc., ainsi qu’une jambe tronçonneuse ! Si c’est moins maniable que l’avoir au bras comme Ash Williams, elle permet de faire des glissades et de décimer les rangs adverses en leur rentrant littéralement dedans.

La loi, c’est moi

Le jeu a beau être bourrin, la mobilité est très importante, le gameplay s’inspirant des classiques du genre tels que DOOM, Duke Nukem ou Quake. On y retrouve des mécaniques à maîtriser pour asseoir sa domination sur les adversaires, comme le rocket jump ou d’autres subtilités, avec les dégâts de la tronçonneuse variant en fonction de la vitesse de la glissade.

Pour accroître nos possibilités, on trouvera dans Turbo Overkill différents distributeurs pour se ravitailler en consommables, acheter des améliorations d’armes comme le tir secondaire, malheureusement ce n’est pas monté en série, ou, comme dans Deus Ex et Beyond Sunset (ma présentation en dessous), des modificateurs corporels.

Chaque membre du corps ayant une spécialité déterminée par l’équipement trouvé sur le chemin, (grappin, bottes magnétiques, micro missiles).

Des objets à tout-va

Le système de santé et bouclier est aussi hérité des aînés avec des items plus ou moins efficaces à ramasser. Mais certains ne pourront pas l’être si les jauges sont au-dessus d’un certain seuil.
Les niveaux sont truffés de recoins à explorer pour dénicher le meilleur équipement, mais pas que ! On y retrouve tout un tas d’objets.

  • Des téléphones qui octroient des enregistrements. Histoire de nous en apprendre plus sur l’univers et sur Johnny.
  • Des clés Teratek afin d’ouvrir des coffres qui renferment des améliorations corporelles gratuites.
  • Et des objectifs secondaires de chaque quartier. À savoir : trouver les 3 cassettes débloquant les niveaux secrets où l’on affronte un nombre limité de vagues d’ennemis dans des arènes.

Bien que les niveaux soient linéaires, il faut parfois tout retourner pour mettre la main dessus !
En plus, ils offrent régulièrement des situations qui brisent la routine, par exemple, en parcourant une route bondée sur le toit des voitures volantes ou en évoluant aux commandes de la nôtre.

Trois modes de jeu

Turbo Overkill offre trois modes de jeu bien distincts.

  • Une campagne composée de 3 épisodes de 8 missions chacun
  • Une partie arcade qui correspond à la campagne avec un score
  • Le sans fin où l’on combat des vagues d’adversaires dans des arènes jusqu’à la mort

Je ne trouve pas de défaut au jeu, éventuellement les modes arcade et sans fin qui font doublon avec la campagne et les niveaux secrets, mais ce n’est pas négatif en soi.

Les graphismes modernes inspirés de l’ère des classiques et certaines animations peuvent ne pas plaire à tout le monde. Il est difficile de lire les sous-titres pendant un combat, c’est rare mais ça arrive. De manière générale, le jeu répond bien, c’est rapide, c’est fun, c’est nerveux, il est à essayer si vous aimez le genre !

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