Attention, Wheel world est un jeu sur le cyclimse. Merci de votre compréhension.

Maintenant que j’ai casé une référence à « La classe américaine », on peut rentrer dans le vif du sujet ! Le studio Messhof à qui l’on doit trois jeux frénétiques, revient avec un titre aussi calme que technique. Comme d’habitude, je vous propose de jeter un œil sur ce que propose Wheel World en vidéo ou en lecture (plus bas).

Adaptez votre vélo pour remporter les courses: Wheel World

Un monde de roue (wheel world)

Dans ce projet un peu fou, on incarne Kat. Une femme qui trouve dans un bâtiment, un vélo possédé par Skully. Un fantôme responsable du passage des esprits défunts vers la lune. Malheureusement, pour les guider au travers de l’égout des esprits et accomplir le rituel, il a besoin d’un(e) cycliste légendaire et de ses pièces tout aussi légendaires, volées pendant sa sieste.

En Italie – à vélo – on dépasse les autos

On arpente donc le monde ouvert de Tramonto. Une sorte d’Italie fantastique. Le vélo y est aussi important pour les habitants que les Pokémon dans les jeux éponymes. La comparaison peut être poussée plus loin car pour récupérer les pièces de Skully, on doit défier les champions de chaque région. Ce qu’ils acceptent quand on a assez de réputation. Réputation obtenue en accomplissant les 4 objectifs lors des courses contre les équipes locales, chacune avec sa spécialité, sur piste, tout terrain, BMX…

Et comme un vélo rouillé n’est pas très performant, il faut l’adapter aux différentes terrains grâces aux pièces appartenant à différents sets, trouvées dans les caisses d’équipement disséminés sur la carte, en remportant les courses ou chez les marchands. A savoir que certaines pièces sont aléatoire d’une partie à l’autre.

Quand on partait sur les chemins à bicyclette

Si la performance est au cœur du jeu, on peut tout a fait se promener et admirer les paysages. Ces escapades permettent de découvrir la pléthore d’objectifs secondaires, de nombreux tremplins à sauter, des cyclistes perdus à retrouver, des parcours secrets à emprunter, les loups solitaire à affronter etc… Ces accomplissement permettent d’avoir de l’argent auprès de Cyclorp, la multinationale qui a volé les pièces de Skully et les a redistribué à ses champions ambassadeurs.

La technique du cyclisme

A l’instar des Nidhogg (les jeux précédents du studio), Wheel World requiert une certaine technicité. On peut prendre l’aspiration pour gagner en vitesse. Un pilotage risqué permet de recharger son boost ou de récupérer les lettres dans les courses. Changer les pièces modifient les statistiques du vélo et octroie parfois des effets supplémentaires pour planer dans les airs, recharger le boost dans différentes situations ou augmenter l’efficacité sur un terrain spécifique. Sans oublier les transmissions qui peuvent être à une ou plusieurs vitesses. Si les deux options sont viables, la seconde permet une meilleur adaptabilité pour gagner en rapidité. Attention toutefois à changer de vitesse le moment opportun, sous peine de pédaler dans la semoule.

Mon avis sur Wheel world

Ceci étant dit, Technicité ne rime pas avec difficulté. Je n’ai pas encore fini le jeu mais en quatre heures, sauf cas exceptionnel, faire les courses une fois suffit pour progresser. Le jeu mise moins sur la compétition que sur son histoire et son ambiance. La direction artistique en Cel Shading est très agréable à l’oeil. L’univers est loufoque sans être lourd. Les animations montrent un soin du détail. Par exemple, quand Kat descend du vélo en roulant ou qu’elle se met en danseuse dans les pentes.

Et si la bande-son ne fait pas partie de mes préférées, elle reste très aérienne et agréable. Elle participe au sentiment de liberté quand on se promène.

Le jeu est disponible sur PC, Playstation 5 et Xbox Series X|S

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