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    TEST – DOOM : The Dark Ages, des tripes en veux-tu, en voilà !

    Ludovic Laubscher9 mai 2025
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    Après le reboot de DOOM en 2016 et sa suite, Eternal en 2020, Bethesda a su insuffler un immense vent de fraicheur à l’une des franchises qui a popularisé le genre des FPS. Je rappelle que le tout premier opus est sorti en 1993 sur PC; ça ne date donc pas d’hier. Aujourd’hui, en 2025 donc, le troisième volet, nommé Doom : The Dark Ages, promet un nouveau chamboulement dans son déroulé, même si à première vue, certaines craintes ont pu apparaitre dans notre Preview et via les avis des fans sur la toile.

    Est-ce que le nouveau bébé de Id Software est à la hauteur de son héritage ? C’est ce que nous allons découvrir ensemble.

    Prenez votre Super Shotgun et votre bouclier; les légions de démons vous attendent de pied ferme. C’est parti !

    Test - Doom : The Dark Ages, des tripes en veux-tu, en voilà !

    Une histoire plus consistante

    À contrario du reboot de 2016 où notre protagoniste, dit le « Doom Slayer », n’avait que faire des évènements en cours et préférait juste dézinguer le moindre petit être démoniaque, ici l’histoire se place un peu plus au centre du jeu. Comme vous l’aurez compris, il s’agit d’un préquel aux deux jeux précédents et ce dernier va nous montrer les haut faits du Doom Slayer avant qu’on le redécouvre en 2016.

    Dès l’introduction, on se rend compte que le Slayer est sous le contrôle des Maykr, une race extra dimensionnelle déjà apparue dans les épisodes précédents. Ici, l’histoire se déroule dans le royaume des Sentinelles de la nuit alors que l’Enfer est sur le point de conquérir Argent D’Nur.

    Test - Doom : The Dark Ages, des tripes en veux-tu, en voilà !

    C’est dans ce contexte apocalyptique que le Doom Slayer va devoir endosser le rôle de dernier espoir et surtout, de devenir le plus grand adversaire des démons.

    Vous l’aurez compris, le jeu possède désormais un scénario plus « intense » et comprend de nombreuses cinématiques tout du long, même si au final, notre seul et unique but est de faire souffrir les rejetons de l’Enfer.

    Le gameplay est différent…

    La première chose flagrante dans The Dark Ages, c’est le nouveau gameplay. À première vue, le jeu semble avoir perdu en nervosité; on est loin des mouvements de Eternal. Cependant, cette décision prend toute sa logique car les décors sont désormais beaucoup plus grands. À contrario des couloirs étroits des épisodes précédents, le monde de The Dark Ages est vaste; je ne dirais pas que c’est un monde ouvert, mais l’exploration est désormais possible et encouragée. Pas de panique cependant, le jeu comporte aussi des zones plus petites et sujettes au combat rapproché.

    Ce changement est déstabilisant au début et les plus nostalgiques verront des similarités avec les tous premiers jeux Doom. Les « niveaux » sont grands, très grands et de ce fait, le gameplay du jeu se devait de changer avec. Heureusement, une carte est disponible, mais je dois bien avouer que certains objectifs n’étaient pas très clairs. Rien d’insurmontable et vu le changement radical du game design, une petite mise à jour devrait largement résoudre cela.

    Maintenant, il est désormais possible de courir et ce ne sera pas un luxe tant certains lieux peuvent être vastes. Si je devais faire une comparaison de grandeur des cartes, Halo serait un bon point de départ. Mise à part les légions infernales, l’exploration fait donc son retour et la recherche de secrets devient vite addictif. Ces mêmes secrets, hormis les collectables, permettront d’améliorer l’équipement de notre pourfendeur et c’est à partir de là que les choses sérieuses commencent.

    …mais toujours aussi jouissif

    Passé un certain temps et après avoir débloqué plusieurs armes, j’ai pratiquement retrouvé cette sensation de surpuissance digne du Doom Slayer. Désormais équipé d’un bouclier, notre bon vieux Slayer prend des airs de Captain America. Pouvant encaisser des dégâts, renvoyer certaines attaques et même être lancé sur des ennemis, le bouclier apporte une nouvelle dynamique au gameplay. Il sera également possible de frapper au corps à corps et de causer beaucoup de dégâts aux petits ennemis.

    Du coté des armes à feu, il y’en aura pour tous les goûts. Du simple fusil à pompe au lance-grenades, les choix sont multiples. Qui plus est, chaque arme possède désormais deux variations. Dans les Doom précédents, il fallait débloquer des mods et cela permettait de modifier son arme à sa guise. Ici, les armes sont de la même classe, mais sont considérées comme à part entière. Pour exemple, le fusil à pompe peut être échangé contre le Super Shotgun en appuyant simplement sur une touche durant la partie.

    Test - Doom : The Dark Ages, des tripes en veux-tu, en voilà !

    Pour revenir aux combats, ils prennent souvent une dimension épique, tant le nombre de créatures démoniaques à l’écran peut être impressionnant. Une fois le nouveau gameplay pris en main, je me suis surpris à foncer dans le tas, enchainant les frags à distance et au corps à corps, en jonglant avec les capacités du bouclier, des armes à feu et aux autres perks de mon personnage.

    La seule petite ombre au tableau (mais c’est vraiment pour pinailler); le net recul des « Glory-Kill ». Dans les épisodes précédents, les « finish moves » étaient plus fun les uns que les autres. Mais ici, ils sont bien moins présents à l’écran et à part dans quelques séquences spécifiques, achever un ennemi se termine souvent par un « simple » coup de bouclier ou de poing. Un peu dommage…

    Une difficulté mortelle

    Le déluge de violence est donc continu et le rythme du jeu devient vite infernal (vous l’avez ?); ce qui amène souvent à un game over. N’étant pas punitif, du moins jusqu’à un certain seuil, la difficulté du jeu est bien dosée, mais je conseille de faire l’aventure, au minimum, en difficulté moyenne. Pour ma part, je l’ai directement tenté en « Ultraviolence » et je n’ai pas regretté ma décision. Et dites-vous que trois paliers de difficultés supplémentaires sont disponibles, mais le jeu devient littéralement un Dark Souls version FPS.

    Si vous n’êtes pas un adepte des difficultés « standard », DOOM : The Dark Ages propose également de customiser plusieurs paramètres dont :

    • Les dégâts que vous allez recevoir
    • Les dégâts que vous allez infliger
    • Gérer la vitesse du jeu
    • La fenêtre des parades
    • Certains aspects liés au didacticiel
    • La vitesse des projectiles
    • Influencer le drop des munitions et des soins

    Au final, chacun pourra personnaliser son expérience et cela permet d’augmenter considérablement la durée de vie du jeu. J’ai presque envie de dire que c’est un exemple à prendre pour d’autres productions afin de proposer des challenges plus intéressants.

    Oh mon roboooooooot !!!

    Comme vous l’avez sûrement vu passer sur notre chaine YouTube et lors des différents trailers, notre Slayer peut désormais utiliser plusieurs véhicules. Au menu, un gros Atlan (mécha pour les aficionados) et même un dragon armé d’une double mitrailleuse. Les phases à bord du robot sont assez grisantes et m’ont donné l’impression d’être dans Pacific Rim. Le système de combat est plutôt simple à prendre en main; il faut frapper avec ses poings et esquiver au bon moment. Rien d’exceptionnel, mais encore une fois, l’adrénaline est bien présente et être au commande d’un tel engin m’a fait rêver.

    Quant aux phases avec le dragon, c’est déjà un peu moins intéressant; je m’explique. Une fois sur le dos de notre fidèle monture, il est possible de se déplacer à notre guise. Cependant, le système de tir avec « auto-lock » m’a fortement déçu sur ce DOOM : The Dark Ages. Le dragon se fige sur la cible et il suffit de tirer et esquiver, mais tout est très scripté. Après une esquive, la monture reprend directement sa position initiale et rebelotte; c’est très artificielle. Il en est de même lors des phases où il faut atterrir; si le dragon est trop proche du lieu de l’atterrissage, la créature repart en arrière et lance une animation toute prête. Honnêtement, ce genre de défaut m’a un peu sorti de l’immersion du jeu à ce moment là.

    Qu’elles sont belles toutes ces trippes

    Passons maintenant à l’aspect graphique de ce DOOM cuvée 2025. Dans la même lignée que ses prédécesseurs, ce nouvel opus est plutôt beau. Les décors gigantesques fourmillent de petits détails et je trouve toujours impressionnant de voir des combats de titans se dérouler au loin. La variété est aussi de mise. Ce nouvel opus vous fera voyager aux quatre coins de l’univers, allant de la magnifique cité de Argent D’Nur, à de sombres forêts lugubres et bien évidemment, en Enfer.

    Concernant le bestiaire, je n’ai absolument rien à redire. Les nouveaux designs des démons sont tous plus réussis les uns que les autres. Et que dire de la variété de ces derniers ! Je ne me souviens pas avoir vu autant de créatures différentes dans un jeu DOOM. Que ce soit les Revenants, les Mancubus, les Âmes Perdues ou encore les Cyberdemons, jamais le Doom Slayer n’aura eux autant d’adversaires. Qui plus est, vous aurez droit à quelques surprises, mais je ne vais pas aller plus loin.

    Les cinématiques sont également très jolies et les personnages sont bien modélisés, surtout certains humains. Malheureusement, les personnages humains « in-game » le sont moins et certaines animations m’ont même fait rire. Ce n’est pas vraiment impactant, car nous n’avons pas d’interactions avec ces derniers. Ils sont juste là pour donner vie à certains lieux et scènes.

    Que serait un jeu Doom sans ses compositions sang pour sang metal ? Malgré l’absence de Mike Gordon depuis les DLC de Eternal, je dois avouer que son remplaçant, le duo Finishing Move, fait parfaitement l’affaire. Les morceaux sont lourds au possible et rajoutent une dimension dantesque aux différents affrontements. Étant moi-même un fan de metal, je dois bien avouer que mes oreilles ont vraiment apprécié ces nouvelles compositions.

    Performances (démoniaques)

    Coté performance, même si il s’agit d’une version preview, The Dark Ages s’en sort agréablement bien. Avant d’aller plus loin, je me permets de vous donner les informations sur ma machine :

    • Carte graphique : Gigabyte RTX 3080
    • Carte Mère : Gigabyte B550 Aorus Elite
    • Processeur : AMD Ryzen 7 5800X
    • Mémoire vive : 32 GB
    • SSD : Samsung 9100 Pro
    • Système d’exploitation : Windows 11

    Le tout est couplé à un écran AOC Ultra Wide et avec une définition de 3440 x 1440. Ce qui explique le format des images accompagnant ce test.

    Honnêtement, le jeu tourne plutôt bien. Avec les options graphiques en Ultra, le DLSS réglé en « Qualité », je navigue entre 50 et 80 images par secondes. Bien entendu, il est tout à fait possible de gagner plus de FPS en baissant la qualité générale du jeu, mais le but est aussi de voir de jolis graphismes. Même si je n’ai pas atteint des sommets en matière d’images par seconde, j’ai été impressionné par la stabilité du jeu, surtout lors de certains affrontements avec un nombre conséquent de créatures à l’écran.

    Et pour les bugs, je n’ai eu aucun et ce, du début à la fin; pas même un crash. L’optimisation est donc très bonne sur ce DOOM : The Dark Ages.

    Le Slayer au meilleur de sa forme

    Honnêtement, j’avais peur que Doom : The Dark Ages ait perdu sa nervosité lors des différentes séquences que j’avais pu voir. Heureusement, les équipes de Id Software nous ont pondu un jeu qui prend son temps d’accélérer et d’amener le joueur à devenir toujours plus agressif et rapide. La courbe d’apprentissage du gameplay est vraiment satisfaisante et je me suis étonné, à plusieurs reprises, à effectuer des enchainements digne d’un gros film d’action, le sourire aux lèvres.

    Du fait à une deadline assez courte entre la réception de la clé et la sortie de ce test, j’ai dû me résoudre à faire l’histoire en quasi ligne droite. Au total, il m’aura donc fallu pratiquement 15 heures pour venir à bout de ce nouveau Doom. Cela peut paraitre court, mais je dois avouer que j’ai rarement ressenti une telle intensité dans un jeu vidéo. De plus, cette durée de vie est en adéquation avec les opus précédents; leurs durées de vie moyenne oscillant entre 13 et 15 heures de temps.

    Pour conclure, je dirais que The Dark Ages tient toutes ses promesses, même si certaines séquences dans les airs ne sont pas exempt de défauts. L’absence d’un mode multijoueur pourrait également faire grincer des dents, mais ce nouveau DOOM possède largement de contenus et de défis pour tenir le joueur en haleine durant de longues heures.

    S’adressant tout de même à une certaine niche de joueurs, Doom : The Dark Ages devrait plaire aux fans de la saga, mais aussi à ceux désireux de challenges. Pour moi, c’est l’un des meilleurs défouloirs du marché et surtout, une suite digne de ses prédécesseurs. Bien joué Id Software !

    Note générale : 9/10

    Les + :
    – Toujours aussi nerveux
    – Sensation de surpuissance omniprésente
    – Un retour aux sources, mais au goût du jour
    – Graphiquement beau
    – Durée de vie honnête / du challenge pour tous les types de joueurs
    – Une B.O. 100% metal
    de qualité

    Les –
    – Certains objectifs un peu flous
    – Les passages dans les airs datées
    – Absence d’un mode multi
    (on le savait avant la sortie)

    Galerie

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