Si vous suivez le magazine depuis quelques années, vous avez très certainement remarqué mon engouement pour Half-Life, STALKER ou encore Atomic Heart. Après une année plutôt calme pour le genre FPS (surtout venu de l’Est) et en attendant STALKER 2, je suis tombé ce weekend sur un titre totalement inconnu au bataillon. Un jeu de tir qui mélange tout ces titres que j’affectionne particulièrement avec même un peu de Metro pour ne rien oublier. Il s’appelle VLADiK BRUTAL et il est développé par une seule et même personne. Une expérience en monde ouvert qui met à l’honneur l’action, et uniquement cette dernière. Plus que des mots, voici le dernier trailer du jeu.
Prévu pour débarquer en accès anticipé sur Steam le 8 août, il est difficile à dire si c’est une bonne pioche ou non. Un bon défouloir amusant avec de bonnes idées, ou simplement une succession de choses classiques sans âme. Notez que la personne aux commandes du projet a déjà sorti deux autres « jeux ». Un qui porte le nom de VLADiK et qui a été finalement abandonné (surement pour laisser la place à VLADiK BRUTAL) ainsi qu’une autre aventure qui a été très bien notée.
Dans les grandes lignes VLADiK BRUTAL promet une histoire originale. 12 armes différentes avec un bestiaire riche en diversité. L’ambiance globale baigne dans le postapocalyptique avec des inspirations de tous les côtés. Un fait assumé puisque le développeur annonce de nombreux easter egg dans son produit.
Rendez-vous donc le 8 août pour en savoir plus sur ce shooter plutôt étonnant.

Dans un pays fictif situé en Europe de l’Est, un dictateur dirige le pays depuis de nombreuses années. Le dirigeant est vraiment paranoïaque, il a fait beaucoup de balayages et a tué les gens qui étaient contre lui. Afin de contrôler les gens ordinaires, les gens étaient équipés de puces dans le cou pour les suivre à la trace. Tous les gens recevaient les mêmes vêtements avec un certain numéro et tout était contrôlé par le gouvernement. Mais ce n’était pas suffisant pour le seigneur, il a construit un grand centre de recherche pour renforcer ses assassins, mais tout le sale boulot était fait par des prisonniers. Le pays avait beaucoup de prisonniers, parce que beaucoup d’entre eux se sont battus et ont essayé de briser la dictature, quelqu’un a été exécuté, quelqu’un a été jeté en prison et expoité comme esclave.