En ce moment, les révélations sur la licence Stargate sont légion et celle-ci aura de quoi décevoir toute la communauté. Pour rappel, la dernière série en date, « Universe », s’est arrêtée suite à la faillite de la MGM.
Comme le rapporte le site Gateworld, Brad Wright aurait tenté un dernier baroud d’honneur suite à la fin prématurée de la série Stargate Universe. En effet, le co-créateur voulait proposer un crossover entre SG-1, Atlantis et Universe. Ceci, dans le but de les envoyer en mission de sauvetage sur le Destiny (le vaisseau des Anciens)!
M. Wright avait proposé à la MGM d’utiliser une dernière fois les décors de la série, avant que ceux-ci soient démontés pour de bon. Il a également déclaré que si il avait pu remettre un script assez rapidement, il aurait probablement réussi à réunir le casting de SGU, mais aussi celui de SG-1 et de Atlantis. Le but était de proposer un film de 1 heure 30 à 2 heures afin de conclure SGU et terminer l’intrigue pour de bon.
Bien que la rumeur concernant un film crossover ait circulé en 2011, Brad Wright confirme donc que cette solution a été envisagée sérieusement.
D’après les informations que M. Wright a livré, l’histoire devait introduire le personnage de McKay alors que celui-ci avoue que le Destiny est en difficulté. Des membres de Atlantis et de SG-1 aurait fait équipe avec le colonel Telford afin de trouver un moyen d’atteindre le Destiny dans le vide entre les galaxies et de ramener l’équipage sur Terre.
Après l’espoir, la désillusion
Malheureusement, les délais étaient intenables et deux semaines après le lancement du projet, celui-ci fut annulé. La MGM a refusé d’allouer le budget nécessaire à la confection de cet ultime chapitre.
Quand on y repense, c’est la tristesse qui nous envahit. Imaginez un instant la réunion de SG-1, Atlantis et Universe au sein d’un long-métrage a de quoi donner des frissons. Il est quasiment certain qu’on aurait pu voir destination finale du Destiny dans ce métrage. Et en apprendre plus au sujet du mystère de l’empreinte de se trouvant dans le « fond diffus cosmologique ».