Si vous suivez l’aventure JVmag depuis quelques années, vous savez certainement que j’apprécie tout particulièrement les jeux de simulation ainsi que de gestion. Et bien vous savez quoi ? J’ai eu la chance de découvrir Transport Fever 3 qui mélange exactement ces deux choses, bien que nous sommes ici plus dans une expérience de gestion que de conduite.
Swiss Made
J’ai donc pu assister à une très longue présentation de Transport Fever 3 par le responsable du développement en personne. Que je remercie au passage pour son temps et surtout sa passion (c’est assez rare à la Gamescom, il faut le souligner). Je précise au passage que c’est un jeu suisse et que le studio a décidé de voler de ses propres ailes pour ce troisième opus et n’a donc pas d’éditeur. Un changement notable pour l’équipe qui est donc libre de sortir son jeu « quand il sera prêt ».
En ce qui concerne la présentation, j’ai pu découvrir les principales nouveautés de Transport Fever 3. C’est beau, la nature est riche, les biômes débarquent et ils sont variés. La carte parait naturelle et cerise sur le gâteau, les différentes usines que vous allez devoir utiliser s’adaptent à leur environnement. Logique me direz-vous. D’ailleurs, cette « logique » s’applique à tout le projet.
Plus accessible, plus fluide, plus logique
Désormais, il est possible de manière facile d’établir des routes et de choisir vos besoins entre un point A et un point B. La prise en main est véritablement plus accessible. Ce n’est pas tout, désormais, en début de partie, il n’y a qu’une pognée d’usines à faire tourner. C’est seulement en évoluant dans le jeu, que d’autres usines sortent de terre avec les besoins qui vont avec. Tout est très bien pensé et me rappelle un peu l’approche proposée par la saga ANNO.
Point culminant de la présentation, les usines les améliorations possibles. L’idée est donc d’avoir des types de ressources, avec la possibilités d’équiper les usines avec des extensions en fonction des ressources. L’idées des extensions et d’accélérer le transit, mais attention, la pollution, le coup d’utilisation ou encore les nuisances sonores seront des éléments à prendre en compte.
Transport Fever 3 est déjà une valeur sûre à mes yeux. Si vous aviez confiance à l’époque, n’ayez craintes, Urban Games s’est chargé de nous préparer une suite digne de ce nom.