On y a est ! Après des années d’attente, Nintendo a enfin levé le voile sur les spécifications techniques officielles et complètes de la Nintendo Switch 2. On se retrouve donc avec une console hybride toujours modeste face aux machines de Sony et Microsoft, mais qui mise sur la praticité. Rien de nouveau à l’horizon.

Côté processeur, la Switch 2 embarque un SoC Nvidia T239, équipé de huit cœurs ARM Cortex-A78C. Six sont dédiés aux jeux, tandis que deux sont réservés à l’OS. Une montée en puissance claire face à la Tegra X1 de la première Switch. Le GPU, basé sur l’architecture Ampere (la même que les RTX 30XX), dispose de 1536 cœurs CUDA, avec un pic à 3 TFLOPs en mode docké. Contre 1.71 en mode portable. Le support du ray tracing est confirmé, tout comme le DLSS, jusqu’à la version 3.
La console intègre 12 Go de RAM LPDDR5, dont 9 Go exploitables par les jeux. Côté stockage, on passe à 256 Go en UFS, extensibles via MicroSD Express. On retrouve surtout à une décompression matérielle dédiée pour réduire drastiquement les temps de chargement.
L’écran embarqué est un LCD 1080p de 7,9 pouces, compatible HDR10 et VRR (en interne uniquement). La fréquence peut monter jusqu’à 120 Hz.
Le géant rouge du gaming ne révolutionne pas l’industrie, mais consolide ses acquis. Une étape de transition qui, je l’espère, ne va pas porter à confusion dans certains cas.
Source : Eurogamer – Puissance Nintendo Switch 2