À l’occasion de sa sortie sur consoles, j’ai décidé de vous présenter Shadow of the Orient, un action-platformer se déroulant dans la mythologie chinoise. Vous trouverez en dessous la vidéo de notre chaîne YouTube sur le jeu ainsi que le script si vous préférez lire !
Le point de départ
Shadow of the Orient, est un action plateformer 2D où l’on incarne un guerrier céleste venu défendre la Chine féodale contre une armée de démons et libérer les enfants qu’ils ont kidnappés.
Dans cette aventure, on traverse les niveaux pour atteindre la sortie, tout en cherchant les passages secrets qui renferment les prisonniers et les coffres au trésor. Les contrôles sont assez classiques, mais le jeu a une spécificité. En effet, les ennemis sont particulèrement dangereux de face. Pour éviter de perdre trop de santé, il vaut mieux passer dans leur dos pour les prendre à revers. Ce qui n’est pas toujours évident. Heureusement, il y a aussi des armes et des bonus impactant notre vitesse et portée d’attaque à trouver.
Une jouabilité inspirée des classiques des 80-90’s
Le gameplay exige d’être précis. Par exemple, si on est trop proche d’un mur, on peut effectuer un saut mural non voulu et les erreurs se payent cher. Le démarrage peut donc être chaotique, mais une fois maîtrisé, le jeu devient bien plus agréable. Les niveaux possèdent plusieurs checkpoints, qui ne peuvent être activés qu’une seule fois. Et si, quand on meurt, on garde les prisonniers et les coffres, on perd les gemmes collectées depuis le dernier ainsi que les armes et les bonus ! Ce qui peut provoquer quelques moments de frustration quand on se retrouve sans rien après avoir vidé une zone secondaire ardue, qu’il faut donc recommencer quasiment nu !
Le magasin
Pour pallier à cela, le magasin propose des améliorations, des compétences (comme blesser les adversaires en leur sautant dessus) et les armes de mêlée pour les avoir toujours sur soi (après les avoir équipées en appuyant sur « Select ») ! Toutefois, on est obligé de revenir au menu principal pour y accéder. C’est dommage qu’on ne nous le propose pas à la fin de chaque niveau, mais cela ne casse pas trop le rythme du jeu car il est cher et donc on n’a pas besoin d’y revenir souvent ! Sans farmer, je n’ai pu faire mes premiers achats qu’avant le 1er boss, soit un tiers du jeu ! et les suivants à l’approche du second tiers.
Ce qu’offre le jeu
L’histoire se décompose en 3 actes, chacun composé de 5 niveaux et d’un boss, ce qui peut se finir en quelques heures. À côté, il propose le mode speedrun avec des courses d’obstacles chronométrées. Il n’est qu’en anglais, avec la majorité des textes dans le tutoriel et le magasin qui me semblent assez progressifs et visuels pour comprendre l’essentiel sans avoir besoin de lire. Les graphismes sont chatoyants, les animations fluides, les musiques pêchues, et s’il y a peu de place pour les erreurs au début, la difficulté reste largement accessible.
Le jeu était déjà disponible sur PC et mobile, il sort ce 27 mars sur les consoles de Nintendo, Xbox et Playstation !