Annoncé être en développement depuis 2015, l’adaptation cinématographique du manga Naruto vient d’annoncer son réalisateur.
Comme nous le rapporte The Hollywood Reporter, le réalisateur Destin Daniel Cretton a été choisi par Lionsgate pour diriger et écrire le film Naruto en prise de vue réelle. Jeyun Munford (avec sa société Hisako), Avi Arad, Ari Arad et Emmy Yu (de Arad Productions) vont également participer à l’élaboration du film.
Selon un communiqué de Masashi Kishimoto, le créateur de Naruto, le mangaka aurait donné sa bénédiction à Destin Daniel Cretton.
« Quand j’ai entendu parler de l’engagement de Destin Daniel Cretton, je venais de voir un de ses films et j’ai pensé qu’il serait le parfait réalisateur pour adapter mon manga au cinéma. Après avoir regardé ses autres films, et compris qu’il pouvait créer des drames solides, j’ai été convaincu qu’il ne pourrait y avoir que lui (Destin) pour réaliser le film. Par ailleurs, j’ai pu le rencontrer et j’ai trouvé que c’était un réalisateur ouvert d’esprit, qu’il avait plaisir à recevoir ma contribution et j’ai senti que nous serions capables de collaborer ensemble dans le processus de production.«
Pour revenir à M. Cretton, voici un concentré de sa carrière en tant que réalisateur :
- I Am Not a Hipster (2012)
- Short Term 12 (2013)
- The Glass Castle (2017)
- Just Mercy (2019)
- Shang-Chi and the Legend of the Ten Rings (2021)
- American Born Chinese (2023, deux épisodes)
C’est quoi Naruto ?
Quant à Naruto, il s’agit d’un manga shōnen écrit et réalisé par Masashi Kishimoto. Sa publication remonte à 1999 et compte 72 tomes aujourd’hui avec plus de 700 chapitres. On y suit les aventures de Naruto Uzumaki, 12 ans et désireux de devenir le meilleur Hokage. De ce fait, il espère que le village le regarde d’un autre œil suite à sa « malédiction » . En effet, le jeune adolescent est craint car le démon renard à neuf queues a été scellé en lui.
Il faut espérer que le manga s’en sorte mieux que les films « Dragon Ball Evolution » ou « Les Chevaliers du Zodiaque ». De notre coté, on en fait encore des cauchemars.