Aujourd’hui, je vous propose une liste non-exhaustive de films qu’il faudrait avoir vu, au moins une fois dans sa vie. Je tiens à préciser qu’il s’agit d’un avis personnel, même si je recommande fortement de regarder ces différents chef d’œuvres.
Comme vous allez vous en apercevoir, j’ai une petite préférence pour la science-fiction, mais j’ai essayé de contenter tout le monde, malgré tout.
Prêts à (re)découvrir des perles du cinéma ?
Jurassic Park
On commence directement avec un titan du genre, j’ai nommé : Jurassic Park.
Réalisé par Steven Spielberg et sorti en 1993, le film a fait un véritable carton mondial lors sa sortie.
Le métrage nous parle de John Hammond, un milliardaire ayant réussit à faire revivre les dinosaures. Son but sera donc de les montrer au public dans son parc à thème : Jurassic Park. Bien évidemment, tout ne va pas se passer comme prévu et certaines des créatures vont s’échapper et semer le chaos.

Ayant fêter fièrement son 30ème anniversaire, Jurassic Park est une référence en ce qui concerne la mise en scène et les effets spéciaux. Le tout est accompagné par la musique transcendante de John Williams (Star Wars, Indiana Jones), histoire de parfaire le tout.
La saga comprend désormais six films, divisés en deux sagas distinctes : Jurassic Park et Jurassic World. Je vous recommande, bien évidemment, d’au moins regarder la première trilogie.
Je le conseille à ceux qui souhaitent s’émerveiller devant de magnifiques créatures et cherchant des sensations fortes.
Prévoyez 2 heures et 7 minutes de votre temps afin de profiter de cet éternel bijou.
Le Seigneur des Anneaux : La Communauté de l’Anneau
Adaptation de la trilogie littéraire du même nom de J.R.R Tolkien, Le Seigneur des Anneaux est sorti en 2001. Le film a été réalisé par Peter Jackson.
L’histoire nous fait suivre les aventures de Frodon Saquet, un hobbit, qui va se retrouver en possession de l’Anneau Unique. Ce même anneau appartient à Sauron, le Seigneur du mal et celui-ci est désireux de le retrouver. Accompagné par Sam Gamegie, son ami, les deux hobbits se mettent en route afin de détruire l’anneau. Leur est d’empêcher le retour de Sauron.

Cette fois-ci, c’est vers l’heroic-fantasy que l’on se tourne. Souvent moqué avant la sortie du SDA, le genre n’était pas très bien représenté au cinéma, mais les choses changèrent drastiquement à ce moment là. Tel un rouleau compresseur, la trilogie du SDA récolta près de trois milliards de dollars de recettes et 17 Oscars.
Que ce soit l’histoire, ses personnages, ses décors et même sa musique, Le SDA est envoutant du début à la fin. En particulier grâce à des décors et paysages sublimes ainsi qu’à ses différentes créatures, plus vraies que nature.
Pour faire bref, n’hésitez pas une seule seconde, le voyage en Terre du Milieu vaut le détour. Le film plaira aux amateurs de fantaisie médiévale et à ceux apprécient la bravoure et les moments épiques.
La Communauté de l’Anneau existe en deux versions distinctes; la version cinéma et la version longue. Je vous conseille fortement de commencer par la version longue, même si celle-ci dure 3 heures et 48 minutes.
Star Wars Épisode V : L’Empire Contre-Attaque
Deuxième films de la saga Star Wars, L’Empire Contre-Attaque a été réalisé par Irvin Kerschner et sa sortie date de 1980. Bien évidemment, George Lucas est également de la partie à l’écriture avec Lawrence Kasdan.
On y suit l’Alliance Rebelle, après la destruction de l’Étoile de la Mort. Celle-ci s’est réfugiée sur la planète glaciaire Hoth, afin d’échapper aux représailles de l’Empire. Malheureusement, une sonde arrive sur place et les Rebelles sont débusqués.
Comment parler de Star Wars sans évoquer L’Empire Contre-Attaque, le deuxième volet de la mythique saga de George Lucas. Alors que le premier volet se focalisait sur l’espoir (CF Un Nouvel Espoir), ce deuxième film nous apporte une ambiance beaucoup plus sombre où les héros sont malmenés tout du long.
Riche de par ses effets spéciaux et son casting haut en couleur, L’Empire Contre-Attaque n’a pas pris une ride et son scénario aura traumatisé plus d’un spectateur.

Une chose importante à savoir; il s’agit de l’Épisode V, mais du deuxième films Star Wars. En effet, George Lucas a d’abord commencé par adapter les films 4,5 et 6 avant d’attaquer les épisodes 1,2 et 3. Ceci est due à sa vision créative, mais aussi au potentiel commercial le plus important. La technologie de l’époque serait également un argument supplémentaire.
Pour vous lancer dans ce Space-Opéra, je vous conseille de débuter avec l’Épisode IV, mais L’Empire Contre-Attaque reste mon film préféré de la franchise.
A réserver aux fans de science-fiction désireux de découvrir un univers riche et très vaste.
Prévoyez 2 heures et 04 minutes afin de vous plonger dans une galaxie lointaine, très lointaine.
Alien, le huitième passager
On passe du coté de la science-fiction horrifique avec le premier film Alien, de Ridley Scott et sorti en 1979.
Un immense cargo spatial capte un signal venant d’une lointaine planète inhabité. Selon une clause dans leur contrat, l’équipage se doit d’investiguer et de dénicher la vie venant « d’ailleurs ». C’est dans cette optique que l’équipage du Nostromo va se rendre sur la planète LV-426. Néanmoins, ce qu’ils s’apprêtent à découvrir risque de menacer la vie de tous les êtres vivants de la galaxie.

Faisant parti des « monstres sacrés du cinéma », Alien est une référence aussi bien dans son déroulement, que dans sa mise en scène. Le film propose également de mettre non pas un héros sous testostérone, mais bien une femme forte en avant (incarnée par Sigourney Weaver). Ce qui était encore très rare à son époque.
Autre point intéressant, la créature a été crée par un l’artiste Suisse H.R. Gigger. C’était un spécialiste des œuvres fantasmagoriques, les créatures mutantes et les visions cauchemardesques. Malheureusement, M. Gigger nous a quitté en 2014 à l’âge de 74 ans.
Elevé au rang de monument de la science-fiction, Alien, le huitième passager n’a pas pris une ride, pourra vous faire frissonner, mais aussi vous passionner pour une saga qui va vous glacer le sang.
Comptez 1 heure et 57 minutes pour visionner le film.
Titanic
On part dans un tout autre registre avec le dramatique et magnifique Titanic de James Cameron. Le film est sorti en 1997 dans les salles avec des recettes mondiales atteignant 1,8 milliards de dollars et 11 Oscars.
Le film nous raconte l’histoire du naufrage du Titanic, vu par les yeux de Rose DeWitt, une survivante du terrible incident s’étant déroulé durant la nuit du 14 avril 1912, au large de Terre-Neuve.
Comme le décrit le synopsis, il s’agit de l’adaptation cinématographique du naufrage du RMS Titanic. Mêlant à la fois des aspects fictifs et historiques, le métrage nous offre un nouveau regard sur le drame humain qui a eu lieu en 1912.

La reconstitution fidèle du naufrage a été mise au point avec des historiens, mais aussi grâce à une maquette presque à taille réelle du navire. Le tout sera bien évidemment agrémenter d’effets numériques époustouflant qui permettent de redonner vie au célèbre navire.
Étant construit comme un drame historique, le film se focalise sur l’histoire d’amour entre Rose DeWitt et Jack. Cette trame de fond permet d’amener plus d’ampleur lors du naufrage grâce à des personnages très travaillés et à des acteurs très talentueux. En plus de proposer une histoire humaine et touchante, Titanic permet de revivre un triste moment historique que tout le monde se doit de connaitre.
Le tout est saupoudré d’une magnifique bande-son signé par James Horner et le tube mondial « My Heart Will Go On » de Céline Dion.
Je conseille le visionnage de Titanic pour ceux qui apprécient l’histoire, les drames amoureux, mais aussi les films catastrophes.
Long film oblige, Titanic a une durée de 3 heures et 14 minutes.
Terminator 2 : Le Jugement Dernier
Pour terminer, un de mes films préférés avec Terminator 2 : Le Jugement Dernier. On retrouve James Cameron derrière les caméras avec un film d’action/science-fiction d’anticipation et sorti en 1991.
Après avoir échappé au Terminator lors de sa jeunesse, Sarah Connor se retrouve en hôpital psychiatrique, peu de temps après avoir mis au monde John, l’homme qui deviendra le leader de la Résistance durant le Jugement Dernier. John Connor, alors âgé de 10 ans, va à nouveau être la proie de Skynet, qui va renvoyer une machine afin de le tuer afin d’empêcher la création de la Résistance.
Après un premier volet avec un tout jeune Arnold Schwarzenegger, James Cameron nous offre une suite plus nerveuse, plus jolie et forte dans son message. Skynet, une intelligence artificielle, menace encore une fois l’humanité de destruction, mais cette fois, ses propres armes sont employées contre. En effet, un Terminator est reprogrammé et envoyé dans le passé afin de protéger John. Et c’est de là qu’un duo magistral du cinéma est né.

N’ayant jamais connu son père, John va trouver un père de substitution en la « personne » du Terminator, un être artificiel qui n’hésitera pas à sacrifier sa propre vie afin de sauver l’adolescent. C’est là tout le message du film; un enfant qui trouve une figure paternelle qui ne lui fera jamais de mal et qui fera tout pour son bien-être, alors qu’il s’agit d’une machine.
En dehors des autres messages d’avertissement face à la technologie et aux IA (pour rappel, le film est sorti en 1991), le film de James Cameron nous offre également un spectacle d’action et de scènes mémorables à travers une course contre-la-montre afin de sauver l’humanité.
Qui dit Terminator, dit forcément Arnold Schwarzenneger. Et le bougre est bien en forme à cette époque là. En plus de posséder un charisme inébranlable, l’acteur saura donner »vie » à une machine destructrice ayant changé de camp.
Epoustouflant et touchant, Terminator 2 : Le Jugement Dernier est un grand film des années 90 et il mérite largement les 2 heures et 17 minutes de votre temps.