JVmag a eu l’honneur de recevoir en avant-première une clé pour Tales of Vesperia : Definitive Edition. Je remercie donc tout d’abord Bandaï Namco pour leur générosité, qui nous permet ainsi de vous offrir un compte rendu détaillé sur ce jeu.
Le jeu est disponible depuis le 11 janvier 2019 sur PlayStation, Xbox, PC et Switch. Mon test porte sur la version pour la console de Nintendo, mais l’histoire ne devrait évidemment pas changer d’une version à une autre. Pour illustrer ce test, je vais passer en revue avec vous un bout du début de l’histoire.

J’incarne donc Yuri lowell, un bel homme et ancien chevalier impérial, vivant dans les quartiers inférieurs de la capitale Zaphias. Malheureusement pour la ville, une personne mal intentionnée a dérobé une pierre de Blastia, qui régule la distribution des eaux. Yuri se met donc à sa recherche.

Le jeu démarre assez lentement, ce qui me permet de profiter à fond des dialogues (en japonais shite kudasai !). Cela me permet aussi de m’habituer tranquillement aux mécanismes du jeu.

Bien évidement, rentrer par effraction chez les gens du quartier royal n’est pas sans risques et je finis donc dans les geôles du château, non sans m’être pourtant battu de mon mieux.

Dans ma fuite, je rencontre alors Estellise, une belle demoiselle en difficulté qui souhaite, pour une raison inconnue, s’échapper elle aussi du château.

Mais non ! S’échapper n’est pas si facile, le méchant Zagi (1er boss) se mettant en travers de notre route et me défiant dans un duel à mort… Oui… Après avoir rechargé 7 fois ma sauvegarde, je décide finalement de réduire la difficulté du jeu pour l’occire. Ce voyou finit cependant par prendre la fuite, me privant de ce plaisir ! Honte à lui !

Avec Estelle, nous nous échappons donc par les égouts. Je te vois venir, cher lecteur: je me moque de Zagi et à mon tour je prends la fuite… Sache donc que lorsqu’il s’agit du héro principal, ce n’est pas de la lâcheté, mais de la ruse !

Toujours pourchassé par les gardes, nous fuyons la capitale usons à nouveau de ruses pour prendre la poudre d’escampette et nous nous dirigeons vers la prochaine cité: Deidon Hold.

Cette cité me plaît, la vie y semble paisible et les offres des marchands attrayantes. On pense pouvoir enfin profiter un peu, mais d’un coup l’alerte retentit: des monstres attaquent la cité.

Mais que va-t-il nous arriver ? Mon test s’arrête ici après 2h de jeu. Je suis impatient de poursuivre mon aventure, de découvrir les autres personnages et les monstres qui se mettront sur mon chemin et de pouvoir ainsi débloquer toutes les capacités de mes personnages.

Conclusion
Je me suis vraiment pris au jeu, l’histoire semble pleine d’intrigues et vraiment attrayante. Les personnages sont ultra kawaï et on s’y attache. Je m’impatiente de la suite !
Les points positifs :
- Le doublage japonais : J’améliore mon japonais ! Sugoi desu ne !
- Les graphismes et cinématiques magnifiques
- Une histoire sympathique avec beaucoup de contenu
Les points négatifs :
- Les angles de caméra: j’aurais préféré une caméra à la 3ème personne
- Le doublage uniquement anglais / japonais (dommage pour les plus jeunes)
- L’impossibilité de changer la langue des doublages en milieu de partie

Ma note pour Tale of Vesperia : Definitive Edition
Gameplay : 4/5
Graphisme : 5/5
Durée de vie : 5/5
Scénario : 4/5 (pour les combats et dialogues répétitifs)
Général : 4.5/5